Retraites : quand Macron joue aux Néron qui incendient Rome par plaisir

Retraites : quand Macron joue aux Néron qui incendient Rome par plaisir

Il existe (probablement peu de fois dans la vie d’un homme) des moments où l’on se demande si oui ou non les événements politiques relèvent d’une fiction hallucinante, pour ainsi dire psychopathologique, ou bien s’il s’agit d’un cours normal des choses que nous avons mal compris. La réforme des retraites appartient, finalement, à l’un de ces rares instants où le dirigeant de l’une des cinq premières puissances politiques du monde fait un usage tellement personnel du pouvoir que l’on confondrait presque son régime avec celui de Louis II de Bavière, ou avec celui de Néron incendiant Rome pour jouir solitairement de ce spectacle. Vous imaginiez que cela n’était pas possible ? Et bien, sa folie du pouvoir le rend non seulement possible, mais réel.

Macron, un Néron face à Rome qui brûle ?