Moscou ne doit plus hésiter à frapper les infrastructures de l’OTAN, par Vladimir Gladkov

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Les actions agressives de type terroriste menées par l’Ukraine, avec plus ou moins la caution de l’Occident, se multiplient. Nous avons eu droit au sabotage de NordStream, à l’attaque du Pont de Crimée, au bombardement de la centrale nucléaire de Zaporijia, à l’envoi de drones sur le Kremlin, à des assassinats, notamment de la journaliste Daria Douguina près de Moscou et du blogueur Vladlen Tatarsky à Saint- Petersburg, à la destruction du barrage Kakhovka, au tir d’obus sur des zones civiles à Donetsk, Marioupol et récemment à Shebekino pour n’en citer que quelques villes. Ces opérations cherchent à déstabiliser le pouvoir en Russie ainsi que dans le Donbass, en mobilisant une opinion de plus en plus en colère, face à ce qui ressemble à une certaine impuissance des autorités. Plus la déroute de la contre-offensive Ukrainienne augmente et plus ces actes cherchent à acquérir une dimension symbolique pour contrebalancer de façon très irrationnelle la déconfiture militaire de l’Ukraine. D’où des envies en Russie de taper, et de taper fort…à la russe, notamment sur l’OTAN… Les Britanniques ont déjà manifesté leurs craintes d’une attaque des câbles sous-marins, ce qui serait une catastrophe pour leur économie. Peut-être n’ont-ils pas tort.

Commission de réparations pour l’Ukraine: la justice internationale au service d’une guerre par procuration ?

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À La Haye, 34 pays et l'UE ont signé une convention créant une commission de réparation pour l'Ukraine, visant à indemniser les dommages causés par la Russie. Présentée comme un acte de justice, cette initiative engage pourtant l’Europe sur un terrain juridique, financier et politique aux implications lourdes. Le 16 décembre 2025, trente-quatre États, rejoints par l’Union européenne, ont signé une convention instituant une Commission internationale des réclamations pour l’Ukraine. Objectif affi


Lalaina Andriamparany

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De la piqûre forcée aux plantes médicinales : le grand écart schizophrène de l’OMS

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L'Organisation mondiale de la santé , autrefois chantre du vaccin obligatoire et persécuteur des sceptiques, opère un virage discret. En Inde, plus de 100 pays actent désormais l’importance stratégique des médecines traditionnelles dans les systèmes de santé. Après avoir imposé une vision monolithique de la santé lors de la crise COVID, où toute nuance était taxée de complotisme, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) semble opérer un virage inattendu. Coorganisé avec l'Inde, le deuxième Som


Lalaina Andriamparany

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La caste s'offre un "Permis émeutes" que vous financerez, par Veerle Daens

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Pendant que la France qui se lève tôt cherchait désespérément à boucler ses achats de Noël avec un pouvoir d'achat en berne, le Sénat, ce "conseil des sages" censé tempérer les ardeurs fiscales de l'Exécutif, a signé l'acte de décès de la responsabilité régalienne en adoptant un "permis émeutes" financé par les contribuables... victimes de ces émeutes !   Avec l'adoption de l'amendement gouvernemental au Projet de Loi de Finances 2026 instaurant une "surprime émeutes" obligatoire, l'État franç


CDS

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Attention aux 3 sujets mortifères du Conseil européen, par Thibault de Varenne

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Autour du rond-point Schuman, atmosphère de fin de règne maquillée en urgence historique ! Alors que les tracteurs de nos agriculteurs encerclent une nouvelle fois le périmètre de sécurité, transformant le quartier européen en forteresse assiégée, les chefs d'État et de gouvernement s'enferment dans le bâtiment Europa pour ce qui pourrait bien rester dans les annales comme le « Sommet des trois renoncements ». En ce 50e anniversaire de la création du Conseil européen, l'ironie est mordante. Cet


Rédaction

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