Nous sommes au cœur de la campagne pour les élections européennes, même si cela ne se voit pas trop, au moins en France où la moitié des électeurs déclarent ne pas être intéressés. Nous allons tout de même proposer une analyse d’un sondage paru en avril. Prenons deux précautions : d’abord, nous savons que les sondages ne sont pas toujours fiables, ils ont même été souvent manipulés pour pousser ou au contraire repousser un candidat ; cependant, il semble que cet âge d’or des sondages truqués soit derrière nous, non pas totalement, bien sûr, mais pour pouvoir être pris au sérieux, et donc remplir leur office, ils ne peuvent plus paraître trop fantaisistes. Ensuite, nous ne nous attarderons pas sur les sondages consacrés aux candidats, mais aux catégories socio-professionnelles, ce qui met en lumière un ensemble de données qu’il s’agit d’apprendre à déchiffrer.

 
       
    
     
   
       
       
      