Guerre d’Ukraine – Jour 522 : Un vrai risque de guerre directe entre la Russie et l’OTAN cet été
Odessa – Statue du duc de Richelieu (1766-1822),, à qui le Tsar Alexandre Ier confia la charge de gouverneur de la « Nouvelle Russie » de 1804 à 1814

Guerre d’Ukraine – Jour 522 : Un vrai risque de guerre directe entre la Russie et l’OTAN cet été


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Il existe cet été un vrai risque de dérapage ukrainien en Crimée, qui pourrait déboucher sur une confrontation directe entre l’OTAN et la Russie. Au moment où nous achevons cette chronique, Fitch vient de dégrader le triple A que l’agence accordait à l’économie américaine en AA+. Comment mieux souligner l’érosion de plus en plus difficile à dissimuler de la puissance américaine ? Cette décision, fâcheuse pour Washington, survient non seulement en pleine turbulence autour de la corruption du clan Biden mais au moment où l’offensive ukrainienne stagne. Depuis notre dernière chronique du 26 juillet, l’armée ukrainienne a tenté des coups de boutoir plus significatifs vers Zaporojie et au sud d’Artiomovsk – sans  succès. Alors y aura-t-il une fuite en avant anglo-américaine sous la forme d’un baroud d’honneur en Crimée ? De la Corée à l’Afrique de l’ouest se met en place une tension tous azimuts entre l’Occident et la nouvelle convergence sino-russe. La question est de savoir si ces tensions se stabiliseront en nouvelle guerre froide ou si la situation risque d’échapper à tout contrôle du fait d’un facteur qui n’existait pas dans la seconde moitié du XXe siècle: les États-Unis sont devenus profondément irrationnels.

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La presse subventionnée des milliardaires nous a massivement vendu un petit Mozart soutenu par des êtres supérieurs. Ce gloubi-boulga de la caste joue à la barbichette, en prouvant qu'une somme d'intelligences individuelles peut fabriquer une immense bêtise collective. L’air de Paris, en cette fin octobre 2025, est chargé de cette électricité singulière qui précède les grands orages ou, plus prosaïquement, les chutes de régime. La politique française, cet éternel théâtre d’ombres où la post


Éric Verhaeghe

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L'État français, ce Léviathan obèse et surendetté, vient d'accoucher d'une nouvelle merveille bureaucratique : l'expérimentation « Territoires Zéro Non-Recours ». Le nom seul est un chef-d'œuvre de novlangue. Traduction : l'État, ne supportant plus l'idée que des citoyens puissent encore échapper à ses griffes bienveillantes, a décidé d'envoyer des commandos de travailleurs sociaux traquer les derniers récalcitrants. La mission? Forcer des aides sociales dans la gorge de ceux qui n'en ont pas de


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Imaginez : Emmanuel Macron dissout à nouveau l’Assemblée nationale courant novembre 2025 ou en 2026 puis/ou démissionne et le tandem Marine Le Pen/Jordan Bardella se retrouve à l’Élysée et/ou à Matignon. Le RN, avec ou sans alliés selon le scénario, fait voter, tiraillé entre sa base populaire et les cadres et chefs d’entreprise qui, en désespoir de cause, ont voté pour lui – n’en pouvant plus d’un budget Lecornu II les accablant de nouveaux impôts sans réduire d’un centime le poids de l’État


Rédaction

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