49-3


Crise des finances publiques : ça sent le roussi pour Barnier

Crise des finances publiques : ça sent le roussi pour Barnier

Depuis le mois d’octobre, la plus grande confusion règne sur le débat budgétaire en France. Si l’on se souvient que l’adoption d’un budget est le début de la démocratie, on ne peut que se poser des questions sur la profondeur de la crise politique qui nous frappe. Reste qu’en bon petit soldat de la Commission Européenne, prisonnier de la morgue bourgeoise dont il est issu, Barnier pourrait bien se condamner à la censure dans les quinze jours qui viennent… Nous avons relaté hier les coulisses de


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

La crise politique est arrivée, par Yves-Marie Adeline

La crise politique est arrivée, par Yves-Marie Adeline

Comme nous l’avions prévu dans notre article paru au lendemain de la dissolution, les élections législatives n’ont pas réussi à produire une majorité de gouvernement, et nous allons bel et bien entrer dans une crise politique majeure. A tout hasard, dans le corps de l’article, nous nous étions quand même soumis à un exercice de conjectures, pour le cas où notre prédiction aurait mérité quelques corrections, mais non, il faut s’en tenir au pronostic.


Rédaction

Rédaction

49-3 : feu la sécurité sociale, assureur du peuple, par le peuple, pour le peuple

49-3 : feu la sécurité sociale, assureur du peuple, par le peuple, pour le peuple

Après avoir engagé, dans l’indifférence générale, le 49-3 sur le volet « recettes » du projet de loi de financement pour la sécurité sociale pour 2024, Élisabeth Borne l’a engagé sur le volet « dépenses ». Autrement dit, il n’y aura pas de vote démocratique sur les dépenses de protection sociale obligatoire en France, dont nous avons dit qu’elles étaient pourtant à haut risque. Il est loin le temps où Pierre Laroque, qui a porté le projet d’une sécurité sociale obligatoire et monopolistique sous


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Deux très mauvaises nouvelles économiques à relever

Deux très mauvaises nouvelles économiques à relever

Nous avons évoqué les risques de défaut dans les dépenses publiques, qui seront accrus en 2024. Les conséquences d’un « incident » de paiement de ce type seraient très douloureuses pour tous les Français. Dans la pratique, la menace principale qui pèse sur notre économie (et surtout sur nos économies) tient au caractère incontrôlable de nos dépenses publiques, et tout particulièrement de nos dépenses sociales. C’est un sujet impopulaire et tabou, dont nous rappelons pourtant la réalité ici. Le f


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Nouveau 49-3 en vue aujourd’hui…

Nouveau 49-3 en vue aujourd’hui…

Pendant que le monde se déchire à Gaza, les soucis parlementaires d’Emmanuel Macron continuent en France. Il semblerait que, pour éviter un nouveau désastre à l’Assemblée, Élisabeth Borne ait décidé de déclencher un nouveau 49-3 aujourd’hui pour faire passer le projet de budget 2024. Elle a même organisé une réunion de 2h30 avec ses ministres concernés pour faire le tri entre les amendements qu’elle conserve et les amendements qu’elle raie d’un trait de plume. Les mauvaises langues disent que Ya


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Le 49-3 ou le Frexit

Le 49-3 ou le Frexit

La question du budget de l’État est traditionnellement lassante et peu populaire. Pourtant, compte tenu des pressions qui s’exercent sur le pouvoir d’achat, ce sujet est réellement central, plus encore que durant les années précédentes. La France est désormais sommée par l’Union Européenne de réduire son endettement, et surtout de réduire ses immenses déficits publics qui l’obligent à emprunter à des taux de plus en plus élevés. Mais y parviendra-t-elle ? Le gouvernement suit une stratégie « mod


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Le seul grand remplacement qui devrait nous préoccuper : celui de Macron !

Le seul grand remplacement qui devrait nous préoccuper : celui de Macron !

Toute personnalité d’opposition devrait se lever le matin en pensant : combien de temps encore devrons-nous subir Emmanuel Macron ? Tout parlementaire devrait, tel un moderne Caton, finit systématiquement ses discours en déclarant : « Macron  doit partir ! ». L’actualité nous apporte tous les jours la preuve que rien ne peut changer sans le remplacement du Président. Caton l’Ancien ne cessait de répéter aux sénateurs romains: « Carthago delenda est ! » – Il faut détruire Carthage ! ». Nous devon


CDS

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Est-ce une révolte ? Non, Emmanuel, c’est une révolution !

Est-ce une révolte ? Non, Emmanuel, c’est une révolution !

Elisabeth Borne et Olivier Véran se sont livrés, ce dimanche 26 mars, à de véritables provocations vis-à-vis de l’opinion. En réalité, c’est signé Emmanuel Macron. Le Président s’obstine à jeter de l’huile sur le feu mais il ne sent plus le pays – a-t-il d’ailleurs jamais senti ce pays qu’il n’aime pas et envers lequel il ne ressent aucune filiation? Les symptômes s’accumulent d’une colère montante de l’opinion. Et les signaux d’un état d’esprit « révolutionnaire » ne sont plus faibles! La Franc


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