Anastasia Colosimo: ultra-conformiste sélectionnée naturellement par l’Elysée – par Modeste Schwartz

Compte tenu de l’état de « cobelligérance » entre France et Russie déclaré, au mépris de toutes les lois de la République, par Emmanuel Macron, la présence d’un « passeport russe » dans son équipe de communication ne constitue-t-elle pas un risque de sécurité nationale ? Pas le moins du monde
Pour le magazine Gala, qui nous informe avec glamour du recrutement de la « politologue » Anastasia Colosimo au poste de conseillère de la cellule diplomatique, ce passeport constitue même « un atout ». Pour l’équipe Macron, comme pour les journalistes de Gala et en général pour la « bonne société » de la République finissante, la nationalité (qu’elle se traduise ou non – détail de plus en plus insignifiant – par une citoyenneté en bonne et due forme) n’implique en elle-même plus aucune loyauté. Avant d’être (en partie) russe, Anastasia Colosimo est une femme, bien entendu féministe, et donc bien entendu opposée au régime de Vladimir Poutine, qui n’est plus que l’incarnation vaguement géographique de la « culture du viol » et de « l’homophobie ». À travers le wokisme, c’est la guerre civile européenne qui se poursuit, « quoi qu’il en coûte ».
Exclus de l’hôpital, mais pas de l’addition
Quoi qu’il nous en coûte, étant donné que le recrutement de la petite Anastasia, issue du cabinet Attias, n’a pas dû être gratuit. C’est un investissement, qui fera tout particulièrement plaisir aux contribuables non-injectés, qui se souviendront de ce que, « invitée sur le plateau de David Pujadas, sur LCI, en pleine pandémie de Covid-19, l’experte politique avait lâché que refouler les non-vaccinés à l’hôpital ‘serait un bon moyen de sélection naturelle’ ». Finalement, Anastasia Colosimo, c’est une sélection naturelle du macronisme : un conformisme absolu qui nous coûte de plus « un pognon de dingues ».
Commentaires ()