La Commission et le Conseil interviennent massivement sur le marché européen de l’énergie – sans procédure législative en bonne et due forme, sans implication du Parlement européen et au mépris des réserves de souveraineté des États membres. Ursula von der Leyen et son entourage infligent ainsi des dommages aussi importants à l’économie européenne qu’à la population, qui doit payer ces agissements au prix fort. Là encore, on abuse d’un « état d’urgence » pour ouvrir la voie à l’agenda des élites bruxelloises. Avec le soutien actif d’États comme l’Allemagne, tout est fait pour prolonger artificiellement l’état de « crise énergétique ». Après tout, il s’agit de servir les intérêts de la technostructure.

 
       
    
     
   
       
       
      