USA : les dommages post-injections ARN Covid enfin reconnus

USA : les dommages post-injections ARN Covid enfin reconnus
Photo by Mathurin NAPOLY / matnapo / Unsplash

Après le déploiement massif  des vaccins à ARN messager contre le Covid-19, des cas de myocardite notamment chez les jeunes hommes ont été signalés. Aux USA, la FDA a choisi de réagir tardivement face aux risques cardiaques de ces injections Pfizer et Moderna.Désormais, l’administration Trump, par l’intermédiaire de la Food and Drug Administration (FDA) a ordonné aux laboratoires Pfizer et Moderna d’ajouter des avertissements clairs sur le risque élevé d'inflammations cardiaques — en particulier la myocardite — lié aux injections Covid à ARNm. Cette mesure intervient près de cinq ans après la mise sur le marché des injections à ARNm, malgré des données internes précoces confirmant ce danger. Comme partout ailleurs, durant le COVID, les autorités sanitaires américaines justifiaient leur décision en invoquant l’importance primordiale de la santé publique et la menace potentielle d’une situation d’urgence pandémique.

Pour justifier son choix, la FDA souligne qu’il existe des données qui établissent un lien de causalité entre le vaccin ARN covid et les inflammations cardiaques, ce qui veut dire donc que le risque d’apparition d’effets secondaires est bel et bien réel, même si les données n’ont pas encore été portées à la connaissance du grand public.

Des avertissements tardifs face à un risque connu depuis 2020

Selon les nouvelles directives, les fabricants devront informer le public, et notamment les jeunes hommes, du risque accru de myocardite lié à la vaccination ARNm.
La myocardite, inflammation du muscle cardiaque, peut entraîner une réduction de la capacité du cœur à pomper le sang, des caillots, des AVC, un arrêt cardiaque et parfois la mort subite. Souvent silencieuse, elle agit comme une « bombe à retardement » médicale.

Pourtant, ce danger ne serait pas une découverte récente. Un rapport interne confidentiel de Pfizer, couvrant la période mi-décembre 2020 à fin février 2021, signalait déjà :1 200 décès présumés liés au vaccin, des milliers d’effets indésirables graves(plus de 2 000 cas de troubles cardiaques), 23 fausses couches sur 270 grossesses suivies

Ce document, rendu public en octobre 2021 via la loi sur la liberté d’information (FOIA), était accessible à la FDA dès mars 2021.

Malgré ces signalements alarmants, ni la FDA ni le CDC n’ont suspendu la campagne de masse. Au contraire, le vaccin ARNm de Pfizer a été pleinement approuvé, distribué et parfois imposé, atteignant plus de 75 % de la population mondiale.

Des experts estiment que la décision de poursuivre la commercialisation après février 2021 ne relevait plus d’une simple « négligence », mais d’une intention criminelle, dans la mesure où la mortalité et la morbidité liées étaient déjà connues.

Des appels à l’annulation et à l’enquête judiciaire

Plusieurs voix réclament désormais :

  1. L’arrêt immédiat de la distribution des vaccins ARNm contre la Covid-19
  2. Une enquête indépendante sur les responsabilités pénales des autorités sanitaires et des fabricants
  3. La reconnaissance des victimes et la prise en charge médicale des effets secondaires graves

Pour mémoire, Pfizer traîne un lourd passif judiciaire : en 2009, l’entreprise a été condamnée à verser 2.3 milliards de dollars pour pratiques frauduleuses. A l'époque, le Ministère de la justice avait même déclaré qu'il s'agissait de " la plus grande fraude dans les soins de santé dans son histoire".

Par ailleurs,nous avions déjà consacré de nombreux articles sur les vaccins ARNm anti-covid, les zones d’ombre qui ont entouré leurs processus d’autorisation, et leurs effets secondaires .