Nous saurons dimanche soir si Erdogan est réélu président de la Turquie pour un dernier mandat. Reconnaissons, du point de vue occidental, que la surprise l’emporte : non seulement Erdogan est arrivé à quelques encablures d’une élection dès le premier tour ; mais son parti a gagné la majorité absolue aux élections législatives ; et le troisième homme, doté de 5%, appelle à voter pour lui. Tout semble attester que la population turque n’a pas aimé qu’on lui intime, depuis l’Occident, de voter contre Erdogan.

 
    
     
   
       
       
      