Dans le débat bâclé sur le budget 2025, le gouvernement s’est fait rattraper (même par la France Insoumise !!!) sur la question de la TVA applicable aux micro-entrepreneurs. Dans la pratique, les « petits » qui prennent des risques pour améliorer leur sort de prolétaires seront matraqués pour financer une bureaucratie cupide. Mais ces micro-entrepreneurs sont-ils vraiment exempts de responsabilité dans ce désastre qui concerne aussi les dirigeants effectifs d’entreprises sous LBO ? Selon moi, un examen de conscience est nécessaire… je vous explique pourquoi.
Les « micro-entrepreneurs » ont beaucoup hurlé contre les mesures en loi de finances abaissant fortement le seuil de leur assujettissement à la TVA. Nous les évoquons dans la capsule.
On sait le fond de cette affaire : la caste déteste que les petites gens s’émancipent et vivent d’une activité qui ne dépende pas d’elle. Il faut C-O-N-T-R-Ô-L-E-R ! Sinon, il faut dissuader, empêcher ou faire payer.
Mais cette soumission à l’impôt social qui ne dit pas son nom a-t-elle un sens ?
Je reviens ici sur le système de « dialogue social » français et sur ses inconvénients : notamment la neutralisation des voix discordantes dans notre capitalisme, tout entier fondé sur la gestion (subventionnée ») du paritarisme et de la protection sociale.
 
    
     
   
       
       
      