Scholz: « 700 millions d’Occidentaux. Et moi, et moi! »

L’Allemagne se trouve rejetée de facto par ses partenaires historiques depuis 1945. Aboutissement paradoxal quand on sait comme la préoccupation a été, en 1945, et même en 1990, d’enserrer la puissance allemande dans un réseau d’alliances. Olaf Scholz ne sait pas vers qui se tourner. Et pourtant il aimerait tant que la guerre d’Ukraine se finisse – pour l’économie allemande. Mais comment franchir le pas de s’affirmer comme nation dotée d’une politique autonome, aux côtés des BRICS, d’Israël ou de la Turquie? Olaf Scholz n’ose pas encore franchir son Rubicon.
