Si l’Union européenne a diversifié au maximum ses sources d’approvisionnement en gaz depuis un an afin de ne plus dépendre des exportations de Moscou, l’or bleu russe demeure indispensable. Les Etats concernés, simplement, se montrent discrets, à la grande indignation des médias et des ONG.

 
       
    
     
   
       
         
       
      