La Russie sous-estime dangereusement Ursula von der Leyen, par Dmitri Bavyrine

L’une des figures clés de la nouvelle guerre froide, Ursula von der Leyen, devrait le rester même après sa démission du poste de présidente de la Commission européenne. Maintenant, elle est pressentie pour le poste de secrétaire général de l’OTAN, du moins c’est ce que les États-Unis aimeraient. Quelle est la probabilité que Madame von der Leyen fasse avec l’OTAN ce qu’elle a fait avec la Bundeswehr antérieurement, c’est-à-dire la priver de sa capacité de défense ?
