Dans un mémo interne de l’Agence américaine des médicaments (FDA), obtenu par le New York Times, le Dr Vinay Prasad, directeur du département des vaccins de la FDA, évoque le lien potentiel entre les injections Covid et la mort de dix enfants par myocardite. Durant la crise COVID, la caste et Big Pharma ont toujours intensifié la pression pour la vaccination des plus jeunes, soulevant de sérieuses questions sur la primauté du profit sur la prudence sanitaire.

Depuis le début de la pandémie, le Courrier des Stratèges n'a cessé de dénoncer l'alliance malsaine entre le pouvoir politique et l'industrie pharmaceutique, une union sacrée visant à verrouiller des marchés lucratifs par la contrainte et autres restrictions liberticides. Aujourd'hui, le Dr. Vinay Prasad, pourtant directeur du département des vaccins à l'Agence américaine des médicaments (FDA), admet dans un document confidentiel l'impensable : au moins dix décès d'enfants seraient liés au vaccin anti-Covid.
Myocardites fatales sur des enfants
L'information, obtenue par le New York Times, est lapidaire : dix enfants décédés par myocardite, une inflammation du muscle cardiaque, après la vaccination. Selon le Dr. Prasad, cette note marque « la première fois » que la FDA « reconnaît que les vaccins contre le Covid-19 ont tué des enfants américains ».
Ce cynisme bureaucratique est sidérant. Durant des années, quiconque évoquait des effets secondaires graves, même rares, était cloué au pilori médiatique et qualifié de « complotiste ».
Or, il aura suffi d'un changement de tutelle politique et d'une note interne pour que la vérité, même partielle, soit murmurée. Cette révélation survient dans un contexte politique particulier, sous la férule du secrétaire à la Santé Robert F. Kennedy Jr., connu pour son scepticisme vaccinal.

Big Pharma et la bureaucratie sanitaire: un duo qui étouffe la science indépendante
Le mémo ne se contente pas de révéler des tragédies individuelles. Il propose une réforme en profondeur des processus de la FDA, dressant un réquisitoire implacable contre l’approche réglementaire actuelle.
Le Dr. Prasad dénonce notamment le processus annuel de mise à jour du vaccin contre la grippe comme une « catastrophe de preuves de faible qualité ». Il exige des études plus vastes, plus longues et plus rigoureuses, notamment sur les vaccins administrés ensemble ou pour des sous-groupes spécifiques.

Ces propositions, si elles augmenteraient les coûts pour les fabricants, pointent du doigt un système capturé : une bureaucratie sanitaire qui aurait accepté, sous la pression du politique et des intérêts privés durant la « crise covid.
L’appel à examiner les données brutes, plutôt que de s’en remettre aux seules publications des laboratoires, est un plaidoyer pour une science libérée des conflits d’intérêts.

Kennedy veut se libérer de l'emprise de Big Pharma
Il faut reconnaître que cette brèche dans l'omerta ne serait pas possible sans le nouveau Secrétaire à la Santé, Robert Kennedy Jr.. Son équipe a immédiatement réagi en limitant l'accès au vaccin aux plus vulnérables (plus de 65 ans et personnes avec comorbidités) et en créant un sous-groupe d'examen critique au sein des CDC.
Nommer des experts comme Retsef Levi, qui qualifie les vaccins anti-Covid de « produit raté » responsable de « dommages graves », est une déclaration de guerre au cartel de la santé.

Cette manœuvre politique est une tentative de libérer la FDA et les CDC de l'emprise de Big Pharma, qui a pendant des années dicté les termes de l'approbation et de la commercialisation des médicaments et des vaccins. L'État, sous une pression idéologique différente, est contraint de reconnaître ses propres erreurs.
Les « experts en santé publique » vaccinolâtres, comme le Dr Michael Osterholm, expert en maladies infectieuses à l’Université du Minnesota, dénonce cette révélation comme"une manœuvre irresponsable."
Il juge que cette note a été intentionnellement diffusée avant la réunion du comité sur la vaccination des CDC prévue la semaine prochaine. Son inquiétude n'est pas la mort des enfants, mais plutôt la fin de la confiance publique dans la vaccination.
Dans un contexte où l’industrie pharmaceutique cherche encore à étendre son marché à la petite enfance, cette brèche pourrait ouvrir la voie à un nécessaire retour à la prudence, à la transparence et à la liberté de choix médical.



