Les macronards se font un plaisir de dénoncer les collusions avec l’étranger (et tout spécialement avec la Russie)… chez les autres. Mais la proximité de certains éminents agents du macronisme avec des intérêts « autres » est un sujet tabou, qui ne manque pourtant pas… d’intérêt ! Deux exemples récents pris dans une actualité discrète permettent de le mesurer. Il s’agit du cas du député Benjamin Haddad abondamment soudoyé par des think tanks américains, et de la secrétaire générale du groupe Renaissance (le parti macronard) à l’Assemblée, fraîchement (re)battue aux élections législatives, pour sa part très proche des intérêts israéliens. Et si l’on parlait de la porosité du macronisme avec le néo-conservatisme américano-israélien ?
