Fraudes sociales : Attal veut préparer le crédit social à la chinoise

Fraudes sociales : Attal veut préparer le crédit social à la chinoise

On connaît la petite musique de la fraude sociale, qui résonne depuis plusieurs années, notamment sous l’impulsion du juge Charles Prats très centré sur le problème des versements de prestation à l’étranger. Nous avions déjà dit en son temps que cette campagne binaire était dangereuse pour l’esprit d’entreprise et de liberté en France, car elle est pain béni pour accroître les contrôles URSSAF et renforcer la surveillance individuelle telle que le Great Reset la souhaite. Les propos tenus par Gabriel Attal au Parisien sur ce sujet confirment parfaitement notre pronostic : sous le prétexte de lutter contre la fraude, le ministre des Comptes Publics annonce des recrutements massifs dans les URSSAF, et une fusion de la Carte Vitale et de la carte d’identité qui permettra d’accélérer la mise en place du crédit social à la chinoise. Ou comment une certaine forme de souverainisme fait le jeu du Great Reset, à son insu ou non.