Nous avions évoqué en décembre la loi en discussion au Sénat sur les dérives sectaires, qui se proposait de mettre un sérieux doigt (voire toute la main) dans la censure officielle pour protéger la propagande officielle en matière sanitaire. L’article 4 criminalisait les discours sur la médecine complémentaire, pourtant reconnue par l’OMS. Sur les instances du Conseil d’Etat, le Sénat a finalement renoncé à maintenir cette ligne. Mais il se murmure que la majorité macroniste rétablirait la censure à l’Assemblée Nationale.

 
       
    
     
   
       
         
       
       
      