Censure : l’UNESCO veut « réguler les plateformes numériques », par Modeste Schwartz

Menacée d’obsolescence par l’univers post-culturel de la Grande Réinitialisation, l’UNESCO se réinvente in extremis comme centre d’organisation de la censure d’Internet. On peut comprendre que, siégeant au centre de ces mégapoles culturellement vandalisées par les Khmers verts, les occupants de ce énième nid de parasitisme social sous bannière ONU, traditionnellement chargé d’une sorte de travail de centralisation des classifications muséographiques, aient fini par ressentir l’angoisse du lendemain.
