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Zelensky invite les Occidentaux à piller son pays avant la fin de la guerre

Zelensky invite les Occidentaux à piller son pays avant la fin de la guerre

Hier 17 octobre, Ulrike Reisner vous parlait du discours belliciste tenu, la veille, par Friedrich Merz, le chef de l’opposition, au parlement allemand. Or il existe une convergence étonnante entre son discours et celui que tenait, au même moment, Vladimir Zelensky, devant le parlement ukrainien. L’enjeu, caché chez Merz, ouvertement révélé chez Zelensky, c’est le dépeçage de l’économie ukrainienne avant la fin de la guerre. Ce qui, automatiquement, prolonge celle-ci.


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Zelensky va pouvoir revenir à la chanson et proclamer « Je suis le mal-aimé! »

Zelensky va pouvoir revenir à la chanson et proclamer « Je suis le mal-aimé! »

Les Etats-Unis sont en train de lâcher l’Ukraine pour se concentrer sur le Proche-Orient. La réunion de l’OTAN à Ramstein où Vladimir Zelensky espérait pouvoir plaider  à nouveau sa cause et obtenir une promesse américaine d’assistance pour frapper la Russie avec des missiles à longue portée, a été annulée. Officiellement, Joseph Biden ne veut pas se déplacer à cause de l’ouragan en Floride. En réalité, il s’agit d’une excuse diplomatique.


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Pendant que le monde regarde le conflit du Proche-Orient, le front ukrainien cède sous la pression russe

Pendant que le monde regarde le conflit du Proche-Orient, le front ukrainien cède sous la pression russe

Le conflit du Proche-Orient n’a pas fait cesser la guerre d’Ukraine. Au contraire, le front ukrainien semble près de la rupture. Officiers et dirigeants ukrainiens parlent de trois ou quatre mois, au plus, à pouvoir résister à la pression de l’armée russe. Une partie des décideurs kiéviens a pris son parti d’un lâchage américain, tandis que Zelensky s’obstine à espérer qu’un gros coup puisse retourner le sort des armes.


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Ukraine: un vent de panique souffle dans les capitales occidentales

Ukraine: un vent de panique souffle dans les capitales occidentales

L’échec de l’offensive de Koursk, la montée en puissance des frappes russes sur les infrastructures et les dispositifs militaires en Ukraine et la pression de l’opinion occidentale donnent de l’oxygène au parti de la négociation avec la Russie, en Europe et aux Etats-Unis. Le parti de la continuation de la guerre est encore le plus vigoureux mais il a de plus en plus de mal à expliquer pourquoi il faudrait s’obstiner alors que la défaite militaire est certaine. En réalité, un vent de panique s’e


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Ukraine: la supériorité « hypersonique » de la Russie va-t-elle mettre fin à la guerre?

Ukraine: la supériorité « hypersonique » de la Russie va-t-elle mettre fin à la guerre?

L’aspect le plus tragique de la Guerre d’Ukraine est l’immobilisme occidental dans le « déni de réalité ». Dès le mois de mars 2022, la Russie avait montré la supériorité que lui conférait, sur le plan militaire, l’arme hypersonique. A l’époque, cela avait été suffisant pour que les Ukrainiens, terrifiés, demandent à négocier (à Istanbul). A l’époque, cependant, Américains et Britanniques, en plein déni de réalité (les USA ont au moins dix ans de retard en matière d’armes hypersoniques), avaient


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Face à l’illisibilité de la politique américaine, Poutine installe l’arme de dissuasion fatale

Face à l’illisibilité de la politique américaine, Poutine installe l’arme de dissuasion fatale

Tandis que Zelensky espère encore convaincre l’administration américaine de l’autoriser à frapper avec des missiles en profondeur dans le territoire russe, personne ne sait qui gouverne vraiment à Washington. Dans cette situation de grande incertitude, Vladimir Poutine préside à une révision de la doctrine nucléaire russe. Elle inclut, selon Reuters, le déploiement de l’arme fatale russe; le Burevestnik.


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Pourquoi Washington refuse l’escalade contre la Russie réclamée par Zelensky

Pourquoi Washington refuse l’escalade contre la Russie réclamée par Zelensky

Confronté à une situation militaire toujours plus difficile, Vladimir Zelensky demande à ses alliés de pouvoir utiliser des armes de longue portée contre des objectifs situés sur le territoire russe. Malgré l’insistance du président ukrainien, Washington continue à refuser. Et les pays membres de l’Union Européenne impliqués dans le conflit n’ont pas pu se mettre d’accord sur une position. En réalité, aux Etats-Unis, on redoute une escalade qui justifierait une montée en puissance de l’armée rus


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