Le président américain a fait plier la Colombie, l’obligeant à reprendre les étrangers expulsés qu’elle s’était d’abord refusé à laisser entrer chez elle. La menace de sanctions économiques, c’est une méthode qui peut faire plier les pays plus faibles mais qui ne marchera pas avec la Russie ou la Chine. Trump a-t-il autre chose en tête?
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Donald Trump s’est exprimé pour la première fois précisément sur sa conception d’une négociation avec la Russie. Comme le Courrier des Stratèges vous l’avait annoncé, le principal obstacle à une négociation rapide sera le complexe de supériorité de l’Américain Donald, qui ne veut pas traiter Moscou sur un pied d’égalité, même si l’instinct politique du président Trump lui recommande le contraire. En contrepoint comique au post de Trump sur Truth Social, on lira celui du président polonais Duda,
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On connaît la célèbre formule, ironique, de Montesquieu, dans ses Lettres Persanes: « Comment peut-on être Persan? » la Perse (l’Iran) y est le miroir où se reflètent tous les travers et les préjugés de la société française. Aujourd’hui, plus que jamais, l’Iran déroute ceux qui voudraient le faire entrer au chausse-pied, dans telle ou telle boîte. Les plus déroutés sont sans aucun doute les présidents américains successifs depuis Jimmy Carter, qui ont tantôt voulu voir dans l’Iran un ennemi irré
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Le sommet du G7 de 2018, qui se tint à Québec en juin 2018, restera gravé dans les annales comme l’un des plus conflictuels de l’histoire récente de ce regroupement des principales économies industrialisées mondiales. Marqué par des divergences commerciales et diplomatiques profondes, il a été dominé par le caractère imprévisible du Président Trump et ses relations tendues avec les autres dirigeants.
Rédaction
Journal de l’empire des Habsbourg : une vidéo du discours de Nouvel An du petit-fils du dernier empereur autrichien fait actuellement le buzz sur les médias sociaux. A l’occasion de ce discours, Habsbourg s’est lancé dans une attaque géopolitique confuse. Moscou en a également pris pour son grade. Cela ne devrait pas nous coûter plus qu’un sourire amusé, même si les tentatives touchantes de Habsbourg de faire tourner la roue de l’histoire valent la peine d’être vues. Le petit-fils du dernier em
Rédaction
Dans cette nouvelle émission, premier numéro de l’année 2025, Édouard Husson et Thierry Meyssan dressent un panoramique de l’actualité de l’année précédente et se livrent à un exercice d’analyse et de prospective pour les douze prochains mois. L’Occident sort-il renforcé des affrontements qui ont eu lieu, que ce soit en Ukraine ou au Moyen-Orient ? Ou bien l’affirmation des BRICS sonne-t-elle le glas de la domination américaine, et plus globalement anglo-saxonne ? La réponse est ici. Dans cette
Éric Verhaeghe
Même si l’on se réfère toujours à la célèbre formule de Napoléon (« un Etat mène la politique de sa géographie »), la stratégie extérieur d’un Etat obéit à des facteurs plus complexes. En ce début d’année 2025, essayons-nous à quelques leçons de politique étrangère française. Aujourd’hui, la leçon de Richelieu et de Gaulle: ne jamais mêler la diplomatie ni la guerre de considérations religieuses ou idéologiques.
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Peut-on faire un point de situation un mois après la chute de Bacher El-Assad? Le premier réflexe de beaucoup d’observateurs, sur le moment, a été de parler d’une défaite irano-russe et d’une victoire univoque d’Israêl. Et puis les jours passent et le tableau se complexifie. Et si les perdants apparents étaient les vainqueurs réels de la nouvelle donne? Tout commence à se passer comme si un nouvel « Afghanistan » avait été installé au bord de la Méditerranée, qui devait épuiser définitivement
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