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Hackers prorusses, bihebdomadaires bamakois : même combat ? par Modeste Schwartz

Hackers prorusses, bihebdomadaires bamakois : même combat ? par Modeste Schwartz

Comme les « hackers prorusses » – un peu poussifs, dirait-on, face aux cyber-architectures de l’OTAN –, les « bihebdomadaires bamakois » (plus généralement : la presse écrite d’Afrique subsaharienne) ne semblaient, jusqu’à présent, pas particulièrement hégémoniques. Et pourtant, les uns comme les autres sont susceptibles d’une redoutable efficacité – mais uniquement contre la France.


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Macron engendra le tohu-bohu gauchiste! Et après? La droite des libertés, vite!
30.05.1968, manifestation de soutien au général de Gaulle.

Macron engendra le tohu-bohu gauchiste! Et après? La droite des libertés, vite!

L’après-Macron a commencé. Le premier produit de l’ère Macron est sous nos yeux, c’est le tohu-bohu gauchiste: de Sainte-Soline aux journées de grève de l’inter-syndicale en passant par les manifestations spontanées du soir, toute la palette des gauches se déploie, des plus radicales aux plus modérées. L’élection législative partielle en cours dans l’Ariège montre bien un débat entre les « hystériques » et les « archaïques ». Mais on peut faire confiance aux différentes gauches pour se réunir et


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Charles de Courson, tonton flingueur de la Macronie, par Modeste Schwartz

Charles de Courson, tonton flingueur de la Macronie, par Modeste Schwartz

Sous l’influence de l’illusion jeuniste, on attendait « la relève ». Or c’est du doyen de l’Assemblée, Charles de Courson, que vient, pour Macron, le danger le plus sérieux. Rares étant ceux qui ont su tirer les leçons du très significatif épisode Martine Wonner, tout le monde visionnait, pour abattre le faussement jeune Manu, des poulains tout piaffant de vigueur juvénile, à la Quatennens, à la Bardella.


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Macron mise une fois de plus sur la tactique du chaos pour s’en sortir

Macron mise une fois de plus sur la tactique du chaos pour s’en sortir

Emmanuel Macron a peu de cartes à jouer dans le conflit des retraites. Mais il y en a une qui lui a régulièrement servi depuis 2018: la tactique du chaos. Le Président a besoin du chaos pour survivre politiquement. L’annonce du service de presse de l’Elysée sur le discours qu’il va tenir vendredi 17 février à la Conférence sur la Sécurité de Munich relève de la même logique: Emmanuel Macron est désormais à ranger dans les « bellicistes » du camp occidental; comme s’il misait, instinctivement et


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