Aurélien Rousseau/Lilly : une connivence peut en cacher une autre, par Modeste Schwartz

Alors que le nouveau ministre de la Santé Rousseau vient d’obtenir toutes ses indulgences contre le péché de « conflit d’intérêt », on apprend qu’il est, par sa belle-mère, lié au laboratoire pharmaceutique Lilly. Bonne occasion de comprendre que la tyrannie des connivents n’est pas un simple accident administratif dont on peut se prémunir par des moyens réglementaires, mais un cancer culturel qui appelle une réponse pour le moins politique.
