Anna Biolay, victime de la liberté d’expression (du « cyberharcèlement ») – par Modeste Schwartz

Anna Biolay est-elle moche ? Est-elle une bonne actrice ? Derrière ces questions frivoles, une question plus grave risque de passer inaperçue : de quel droit la Caste cherche-t-elle à criminaliser les opinions – même dans ce domaine, fort subjectif, de l’esthétique ?
