A Bruxelles sait-on faire autre chose que menacer de sanctions les États de l’UE? par Ulrike Reisner

Les élites de l’UE augmentent la pression, dans leurs propres rangs et sur les pays candidats : les réserves de souveraineté sont réduites, les intérêts de l’UE et de l’OTAN priment sur les intérêts souverains des Etats membres. Le blocage des moyens budgétaires de l’UE ne suffit visiblement pas aux élites pour remettre les membres rebelles sur les rails. En coulisses, on travaille à une relance de l’article 7 du TUE. La « clause de suspension » doit permettre de priver les représentants au Conseil de leur droit de vote.
