Virginie de Araujo : « Pourquoi nous accusons Castex et Véran d’empoisonnement »

Virginie de Araujo : « Pourquoi nous accusons Castex et Véran d’empoisonnement »


Partager cet article

Maître Virginie de Araujo, avocate, a déposé, pour le compte des associations Bon Sens et AIMSIB (Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante), une plainte auprès de la Cour de Justice de la République contre Jean Castex, Olivier Véran et Jean-Michel Blanquer. Elle nous explique pourquoi elle entame cette procédure et quels sont ses objectifs.

Virginie de Araujo a bien voulu que nous publiions sa plainte (de 135 pages !) sur les différents motifs qu’elle énumère : abus de faiblesse et d’ignorance, extorsion et tentative d’extorsion, empoisonnement et tentative d’empoisonnement, tomperie aggravée, escroquerie, génocide.

Nous ne manquerons pas de vous informer des suites de cette plainte. D’ici là, n’oubliez pas de participer aux actions de shaming de Rester libre !

Dossier plainte c.j.r. bonsens.org aimsib c. ministres – 25.11.2021 – ano. from Société Tripalio

Le shaming peut sauver des non-vaccinés

Rejoignez l’action de Rester libre ! pour lutter contre la persécution des non-vaccinés par les bureaucrates au service de l’oppression. Donnez 5 minutes de votre temps pour faire reculer l’arbitraire….

Moi aussi, je lutte


Partager cet article
Commentaires

S'abonner au Courrier des Stratèges

Abonnez-vous gratuitement à la newsletter pour ne rien manquer de l'actualité.

Abonnement en cours...
You've been subscribed!
Quelque chose s'est mal passé
CPO : matraquage sur la résidence principale en vue, par Vincent Clairmont

CPO : matraquage sur la résidence principale en vue, par Vincent Clairmont

Le Conseil des prélèvements obligatoires (CPO) livre une analyse ambivalente sur la résidence principale. Il la décrit à la fois comme un "totem" fiscal intouchable politiquement, mais aussi comme une source majeure d'inégalités et d'inefficacité économique. Et les mesures proposées vont vous coûter très cher. Voici le détail de l'analyse, des propositions retenues (et écartées), et de leurs impacts redistributifs. Le CPO sème la panique sur la détention de patrimoine, par Vincent ClairmontC’e


Rédaction

Rédaction

CPO : panique sur l'assurance-vie, par Vincent Clairmont

CPO : panique sur l'assurance-vie, par Vincent Clairmont

Le rapport du Conseil des prélèvements obligatoires (CPO) consacre une analyse sévère à l'assurance-vie, qu'il identifie comme l'un des principaux vecteurs de distorsion fiscale et d'inégalité patrimoniale en France. Et il propose une réforme fiscale pour les contrats déjà ouverts. Voici le détail de l'analyse, des propositions et de leurs impacts sur les épargnants. Un "paradis fiscal" pour les très riches Le rapport décrit l'assurance-vie comme une niche fiscale massive (coût estimé à en


Rédaction

Rédaction

Les actifs tangibles, seule parade contre la faillite du papier-monnaie!

Les actifs tangibles, seule parade contre la faillite du papier-monnaie!

Vos placements sont en danger. Ne vous voilez pas la face : l'ère de la finance-papier, celle des promesses de l’épargne classique sans substance, est en train de s’achever dans le chaos. Entre le spectre de la récession en zone euro, la résurgence plus ou moins rampante de l'inflation et un système bancaire européen toujours fragilisé, l'heure n'est plus à la prudence académique : elle est à l'action, à la conviction et à la sécession patrimoniale ! La seule réponse valable, le seul acte de ré


FLORENT MACHABERT

FLORENT MACHABERT

Le CPO sème la panique sur la détention de patrimoine, par Vincent Clairmont

Le CPO sème la panique sur la détention de patrimoine, par Vincent Clairmont

C’est un document de 200 pages qui pourrait bien servir de livre de chevet – ou de cauchemar – à la prochaine législature. En publiant ce mois-ci son rapport intitulé Corriger les principales distorsions de l'imposition du patrimoine, le Conseil des prélèvements obligatoires (CPO) ne se contente pas d'une note technique. Il pose une bombe à retardement sous le siège du statu quo fiscal français. Le constat est clinique, presque brutal : notre fiscalité du patrimoine, qui prélève pourtant


Rédaction

Rédaction