Royaume-Uni: augmentation inquiétante de l’absentéisme scolaire chez les plus jeunes

Royaume-Uni: augmentation inquiétante de l’absentéisme scolaire chez les plus jeunes

La pandémie de COVID-19 a laissé des traces profondes sur la société, et les jeunes en ont été parmi les principales victimes. Les mesures drastiques comme les confinements mis en place par les gouvernements ont engendré une atmosphère de peur et d’incertitude, contribuant à une dégradation sans précédent de leur santé mentale. Aujourd’hui, l’anxiété post-COVID et les troubles psychologiques sont devenus des obstacles majeurs à la scolarisation, poussant de nombreux enfants à s’éloigner des bancs de l’école.

La pandémie de Covid-19 a bouleversé le quotidien de millions de personnes, mais les jeunes ont été particulièrement touchés. Les mesures restrictives, souvent inspirées des recommandations du Great Reset, ont semé la peur et l’incertitude, laissant des traces durables sur la santé mentale des enfants. Aujourd’hui, l’anxiété post-Covid et les troubles psychiques sont devenus des facteurs clés de l’absentéisme scolaire, révélant une crise silencieuse mais alarmante.

Une augmentation inquiétante de l’absentéisme scolaire

Au Royaume-Uni, selon l’Institute for Public Policy Research, 20 % des élèves ont été absents de manière persistante, un taux en hausse par rapport à la période pré-pandémique. L’anxiété et les problèmes de santé mentale, causés par la crise sanitaire, sont identifiés comme des causes majeures de cette situation.

De nombreux enfants peinent à se réadapter à la vie normale après les confinements, certains exprimant des peurs irrationnelles. Une mère raconte que son fils de 11 ans, a développé une phobie, comme celle de manquer d’oxygène dans une pièce. Un autre enfant a eu du mal à retrouver une vie normale après les confinements, montrant à quel point les effets psychologiques de la crise persistent.

Des programmes pour ramener les enfants à l’école

Face à cette crise, des initiatives ont été mises en place. Le programme pilote de l’organisme de bienfaisance Barnardo, soutenu par le ministère de l’Éducation, vise à aider les familles à surmonter ces défis..Initialement testé dans cinq villes du nord de l’Angleterre, il a été élargi à 10 nouvelles régions.

Les résultats sont encourageants : sur 671 enfants suivis, 66 % ont identifié la santé mentale et l’anxiété comme des obstacles majeurs à leur scolarité. Cependant, les professionnels s’inquiètent de l’impact durable de la pandémie, qui pourrait se faire sentir pendant encore plusieurs années.

Anne Longfield, ancienne commissaire aux enfants en Angleterre, déplore le fait que trop d’enfants soient toujours freinés dans leurs opportunités de vie par les effets des confinements et des restrictions sanitaires. Le retard dans le développement des jeunes enfants nés pendant la pandémie, la hausse de la pauvreté infantile, l’élargissement des inégalités éducatives et la crise de la santé mentale des jeunes sont autant de problèmes qui s’enracinent durablement dans la société.

Des défis multiples pour les familles

Alex Tinkler, mentor à Middlesbrough, souligne que les problèmes de santé mentale non diagnostiqués, comme le TDAH ou la dyslexie, aggravent la situation.

« Les enfants peuvent être perturbateurs ou suspendus parce qu’ils ne parviennent pas à gérer leurs émotions »,

explique-t-il. L’anxiété post-Covid reste un « problème de masse », avec des enfants qui peinent à s’adapter aux changements d’environnement.

Les familles doivent également faire face à d’autres défis, comme le harcèlement en ligne ou les pressions économiques. Certains parents ne peuvent pas acheter de nouveaux uniformes ou chaussures, tandis que d’autres vivent dans des logements surpeuplés, perturbant le sommeil et la concentration des enfants. Comme on l’a évoqué dernièrement, les enfants défavorisés sont les plus touchés par l’absentéisme et le retard scolaire post-covid.

Si le COVID-19 a eu un impact sanitaire apparent, se traduisant par des décès, des hospitalisations et des cas de contamination. Il y a également son impact caché que la caste mondialisée a choisi de l’utiliser pour contrôler les populations. En manipulant la peur des populations, elle a instrumentalisé la maladie, entraînant une dégradation psychique directement due à l’angoisse maintenue en permanence… La crise du Covid est terminée, mais les pathologies psychiques ne se sont pas pour autant résorbées.