La première journée de réunions du sommet de Johannesburg est intéressante non seulement par la volonté des membres de réhabiliter diplomatie et équilibre des puissances ; mais aussi par ce que Lula a révélé de tentation néo-rooseveltienne : c’est une illusion de croire qu’il puisse y avoir une « gouvernance mondiale équitable » mais Lula s’y accroche.
