Ancienne membre du gouvernement allemand, la russophobe Annalena Baerbock est élue pour diriger l’Assemblée générale de l’ONU pour la session 2025-2026. Elle compte recréer l’organisation et la rendre plus « forte et au service de la paix ».


Demain, mercredi 12 novembre 2025, l’Assemblée Nationale s’apprête à accomplir un acte hautement symbolique : voter, dans le cadre du Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) 2026, la suspension de la réforme des retraites de 2023. Cet événement, qui peut sembler n'être qu'une manœuvre budgétaire initiée par le Premier ministre Sébastien Lecornu, est en réalité l'épilogue (provisoire) d'un fiasco politique majeur. Il clôt une décennie d'obstination réformatrice qui aura
Éric Verhaeghe
Dans le paysage médiatique francophone, Veerle Daens détonne. Chroniqueuse pour Le Courrier des Stratèges, cette jeune analyste flamande apporte une perspective libertarienne souvent absente des débats traditionnels. Formée sur les bancs exigeants des universités de Flandre, elle allie une rigueur analytique impressionnante à une clarté d’expression remarquable. Entretien avec une intellectuelle qui assume ses convictions. Le Courrier des Stratèges (CDS) : Veerle Daens, bonjour. Votre profil
Rédaction
Observons nos voisins. En France, les débats font rage sur un déficit qui s'envole et une dette dépassant les 115 % du PIB. Paris est sous le regard attentif de Bruxelles. Mais la Belgique, dans un silence médiatique relatif, suit exactement la même trajectoire. La crise politique aiguë qui paralyse Bruxelles n'est pas la cause de nos problèmes ; elle en est le symptôme le plus visible. Par Veerle Daens. La mission de 50 jours que s'est auto-attribuée le Premier ministre Bart De Wever n'est p
CDS
Ce pont du 10 novembre, moment de répit dans l'agitation nationale, offre une occasion de prendre du recul sur le spectacle de notre propre impuissance. La France est paralysée. Le chaos parlementaire, les blocages institutionnels et la déconnexion béante entre le pays légal et le pays réel ne sont plus des accidents de parcours ; ils sont le symptôme d'une maladie chronique. La tentation est grande, comme toujours, de personnaliser la crise. On accuse volontiers l'hyperprésidentialisation
Éric Verhaeghe
L'adoption, samedi 8 novembre 2025, de la première partie du Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale (PLFSS) pour 2026 n'aura trompé personne au sein de l'Hémicycle. Le score étriqué de 176 voix pour contre 161 ne signe en rien une adhésion au projet du gouvernement, ni même une improbable lune de miel sur l'autel des finances sociales. Ce vote, fruit d'un calcul politique aussi cynique que nécessaire, est avant tout une manœuvre. Une partie de l'opposition, notamment le Parti
Rédaction
L’année 2026 semble promise, comme les précédentes, à une volatilité extrême et à des chocs imprévisibles. Les modèles d'investissement classiques, qui misent sur la « diversification moyenne » et l’optimisation du risque au milieu du spectre, sont non seulement fragiles, mais destinés à être pulvérisés à l’occasion du prochain « cygne noir » que l'Histoire ne manquera pas de nous servir. Face à ce chaos qui se déploie sous nos yeux, nous vous avons présenté dimanche 2 novembre la seule philoso
FLORENT MACHABERT