NOUVEAU ! « Les Droites de Husson », une newsletter consacrée aux coulisses de la droite

A un an de l'élection présidentielle, Le Courrier des Stratèges publie le n°1 de la lettre qu'Edouard Husson consacrera au décryptage de la politique française. La parution sera hebdomadaire. Vous y verrez le dessous des cartes. Vous pourrez y estimer dans quelle mesure les candidats qui ont une chance de battre Emmanuel Macron - à droite - s'emparent du sujet essentiel pour la France d'aujourd'hui: la défense des libertés individuelles et collectives. Vous lisez nos publications parce que la liberté d'entreprendre, la liberté d'expression, la liberté d'information et la liberté des nations vous semblent aujourd'hui particulièrement menacées. L'élection présidentielle est une occasion de faire entendre notre voix. Alors, si vous voulez peser sur le débat, abonnez-vous !

"Et si l'on arrêtait d'emm... les Français? "
« Mais arrêtez d’emm….les Français! Il y a trop de lois, trop de textes, trop de règlements dans ce pays ! On en crève ! Laissez-les vivre un peu et vous verrez que tout ira mieux ! Foutez-leur la paix ! Il faut libérer ce pays ! » : tel fut le cri du coeur de Georges Pompidou Premier ministre, un soir de 1966, à un jeune énarque nommé Jacques Chirac. Le jeune et fringant conseiller, promis à la carrière que l’on sait, était venu apporter au chef du gouvernement de trop nombreux parapheurs avec des décrets à signer. Et pourtant la France du Général de Gaulle ne laissait redistribuer que 25% du PIB par l’Etat. Mais Georges Pompidou sentait monter la tentation du demi-siècle qui allait suivre: celle de la règlementation sans fin et de la dépense publique non maîtrisée.
Pourtant aucun candidat des droites, aujourd’hui, ne met la liberté des Français et le recentrage de l’Etat sur les fonctions régaliennes qu’il n’assume plus au cœur de son programme. Ce serait pourtant l’arme fatale contre Emmanuel Macron. La newsletter "les droites de Husson" parait chaque samedi matin, dès potron-minet !
L'enjeu de 2022: reconquérir nos libertés
La clé de tout se trouve dans la régression des libertés individuelles et collectives sur lesquelles sont fondés la nation française et son régime républicain. Le quinquennat d’Emmanuel Macron restera dans l’histoire comme le plus liberticide – jusqu’ici – de la Vè République. Avait-on jamais vu un président et ses gouvernements mépriser le Parlement à ce point ? Une telle centralisation de la décision publique ? Y a-t-il un équivalent, depuis la Commune de Paris, de la répression, froidement décidée au sommet de l’Etat, du mouvement des Gilets Jaunes ? Depuis quand n’avions plus expérimenté une telle censure des opinions divergentes ? Non seulement la majorité gouvernementale a voté en décembre 2018 une loi sur les « fake news » qui permettra au président sortant de limiter la liberté du débat quand il sera en campagne ; mais tous nos forums discussions (plateaux de télévision, presse écrite, édition, réseaux sociaux) et jusqu’à nos universités sont les lieux d’intimidations idéologiques mises en œuvre par des minorités agissantes – que le pouvoir tolère comme il a instrumentalisé les Black Blocks pour casser le mouvement des Gilets Jaunes.
La crise sanitaire consécutive à l’épidémie de COVID 19 condense tous nos maux : parlement réduit à être la chambre d’enregistrement d’un état d’urgence sanitaire indéfiniment reconduisible, décision hypercentralisée, omniprésence de la bureaucratie, fermeture arbitraire d’activités économiques absurdement qualifiées de « non essentielles », interdiction de prescrire librement pour les médecins de villes, limitation de la liberté de culte, censure des discours divergents sur les meilleures thérapies, tentation de rendre la vaccination obligatoire , absence de contrôle aux frontières etc….
La défense des libertés est la question politique cruciale pour notre pays. C’est d’elle que vous entendrez parler, semaine après semaine, dans Les Droites de Husson. Rejoignez avec nous la longue lignée de ceux qui, depuis Benjamin Constant et François-René de Chateaubriand, depuis Alexis de Tocqueville et Frédéric Bastiat, pensent, pour utiliser la belle formule du Général de Gaulle, qu’il existe « un pacte entre la France et la liberté du monde ».
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