Nous vivons une apocalypse somme toute très ordinaire

On se fait une fausse idée de l’apocalypse. La preuve? Nous sommes en plein milieu de l’une d’entre elles et il n’y a qu’une minorité à s’en apercevoir. C’est le propre des apocalypses: il y a ceux qui voient et ceux qui ne voient pas. Car une apocalypse ne prend pas toujours la forme d’une catastrophe. En revanche elle est, toujours et d’abord, « révélation » de ce qu’il y a dans le cœur des hommes.