Le bilan que tire la publication Marianne d’un an et demi d’accueil des réfugiés ukrainiens en France est à la fois une occasion de détente – à la faveur de la cocasse hypocrisie des journalistes – et une mine de renseignements précieux : sur la France, sa place et son image dans le monde – mais aussi sur l’Ukraine et l’évolution du conflit.

 
       
    
     
   
       
       
         
       
       
        