Macron: (Deux fois) 700 millions de Chinois, et moi, et moi, et moi !
French President Emmanuel Macron (L) meets with Chinese President Xi Jinping on the sidelines of the G20 Summit in Nusa Dua on the Indonesian resort island of Bali on November 15, 2022. (Photo by Ludovic MARIN / POOL / AFP)

Macron: (Deux fois) 700 millions de Chinois, et moi, et moi, et moi !


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Quel est le point commun entre l’attitude d’Emmanuel Macron en Chine, l’échec le refus d’Elisabeth Borne de négocier avec les syndicats, le comportement actuel des Américains dans la guerre en Ukraine et vis-à-vis du reste du monde? Dans les trois cas, on a affaire à des individus, à une caste occidentale qui ne comprend plus le monde qui l’entoure. Macron prétend faire la leçon à la Chine sur ses relations avec la Russie. Elisabeth Borne ignore l’aspiration de la majorité des Français. Les Américains croient encore qu’ils peuvent imposer un « nouvel ordre mondial ». En voyant Emmanuel Macron se ridiculiser en Chine, les paroles de la célèbre chanson de Dutronc viennent à l’esprit: « J’y pense et puis j’oublie, c’est la vie, c’est la vie » chantait Dutronc en se moquant gentiment des individualistes. Le problème actuel vient de ce que l’individualisme forcené de la caste occidentale est en contradiction avec l’aspiration des peuples à une société de liberté et de justice, avec le désir de la plupart des pays du monde d’une communauté internationales de nations souveraines et égales entre elles. Faudra-t-il que le dollar, ressort caché de l’endurcissement de la caste, s’effondre, pour que les peuples d’Occident soient libérés de la tyrannie du Great Reset et puissent s’intégrer à la nouvelle communauté internationale en gestation?

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On vous ment. Depuis des mois, le narratif médiatique dominant vous vend la fable de l'incompétence de l'Etat et des parlementaires, incapables d'être raisonnables et responsables. On vous explique, trémolos dans la voix, que le dérapage du déficit public à près de 7 % du PIB, l'explosion de la dette à 3 300 milliards d'euros et la chute du gouvernement Barnier sont les fruits d'une "perte de contrôle". On voudrait vous faire croire que l'État français, ce mastodonte technocratique qui prélève


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En ce jour de Noël, alors que la Chrétienté célèbre la Nativité et que le monde profane marque une pause dans sa course effrénée vers le néant, il est de bon ton de sacrifier au rituel du bilan. Mais pour nous, lecteurs et acteurs de la résistance au mondialisme au sein du Courrier des Stratèges, l'exercice ne saurait se limiter à la recension comptable des événements. Il s'agit de lire les signes des temps. Il s'agit de scruter, sous l'écume des crises que les médias mainstream se plaisent à dr


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Chaque année, au seuil du solstice, les peuples d’Europe rallument les feux de la mémoire. Les cloches sonnent, les foyers s’illuminent, et l’on se demande : Noël est-il une fête chrétienne, née de la célébration de la Nativité, ou bien l’héritière de rites païens que l’Église aurait recouverts de son manteau sacré ? La réponse exige une enquête à la fois linguistique, historique et religieuse. L’étymologie du mot « Noël » : une origine chrétienne indéniable Le mot Noël provient du latin nata


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