L’intégration des Arabo-Musulmans passera par l’effort et le travail, pas par l’aide sociale
Les émeutes un peu partout en France constituent, comme chaque fois qu’elles surviennent, un traumatisme majeur dans la société. Dans le cas présent, la violence inouïe des événements explique largement la fracture frontale qui se fait jour dans l’opinion. Mais comment en sortir sans un diagnostic « partagé » sur la situation ? Après plusieurs décennies de « politiques de la ville » coûteuses (on parle de 40 milliards € dépenses), l’Etat-Providence qui prétendait régler les problèmes grâce aux « moyens » (on entend la même chose à l’hôpital ou à l’école), est seulement parvenu à inscrire une fraction de la jeunesse immigrée dans l’assistanat et la frustration. Ni intégré, ni satisfait de son isolement communautaire, ce lumpenproletariat ne pourra être « récupéré » que par une inversion des logiques : fin de l’aide sociale, encouragement au travail par des mesures radicales dont nous donnons quelques exemples ici.