Traditionnellement, les Français s’occupent peu de la vie privée de leurs gouvernants. C’est pour ainsi dire une habitude d’Ancien Régime, seulement démentie en 1789 avec les commentaires sur les relations extra-conjugales de Marie-Antoinette, et sur ses prétendues moeurs évoquées lors de son procès en 1793. Assez curieusement, Emmaneul Macron ravive ce vieux souvenir, en s’entourant excessivement et visiblement de membres de la communauté gay, à tel point que, même sur une chaîne soumise à la censure active de l’Arcom (ex-CSA), la question du poids du réseau homosexuel dans la décision publique est devenue un sujet de débat. Un signe qui ne trompe pas…
