Les USA simulent l’impact de frappes nucléaires en Russie, par Topcor

En 1964 sortait le film « Docteur Folamour », une comédie satirique de Stanley Kubrick, que l’on pourrait résumer par : « Comment j’ai appris à ne plus m’en faire et à aimer la bombe ». Ou encore, pour reprendre un titre cinématographique plus récent : « chérie j’ai rétrécie la terre ». Mais malheureusement, tout ceci n’est en rien de la fiction. L’élite américaine, qui ne sait plus où donner de la tête ou plutôt du canon, en vient désormais à considérer sérieusement une frappe nucléaire sur la Russie. Le raisonnement débile des neocons est grosso modo le suivant : s’il reste 2 Américains pour un Russe, on a gagné … A ce stade, le registre Folamour est largement dépassé. On se dit que les Etats-Unis sont devenus un gigantesque asile de fous, qui plus est dirigé par les plus dingues. Mais aujourd’hui, tout semble possible, même l’invraisemblable et l’irrationnel. Il faudra un jour qu’un colloque de psychiatres mondiaux se réunissent pour nous expliquer comment nous avons pu en arriver là… En attendant, voyons comme la clique Biden fait mumuse avec les simulations.
