Pendant la pandémie, les tests conventionnels ne permettaient pas d’évaluer si un patient risque de développer la forme grave du Covid-19. Les facteurs de comorbidité pouvaient entraîner une hospitalisation ou un décès chez un plus grand nombre de personnes reconnues comme vulnérables. Mais une nouvelle étude a révélé que les protéines régulant les niveaux de plasminogène et de plasmine pourraient devenir des indicateurs importants. L’étude menée par l’Université Juntendo au Japon a ouvert de nouvelles perspectives dans la recherche de biomarqueurs pour prédire la gravité du COVID-19.
