Ulrike Reisner saisit l’occasion de la sortie du Mage du Kremlin en version allemande pour décrypter les dessous d’un mauvais roman qui est en fait une arme de propagande, une n-ième tentative d’imposer à l’opinion occidentale une certaine image de Poutine et du monde dirigeant russe, très loin de la réalité. Ulrike Reisner nous explique les liens de Giuliano da Empoli avec l’establishment de Washington par l’intermédiaire du Global Progress Network. Rien n’interdit de détester la Russie; en revanche, il vaut mieux la dépeindre telle qu’elle est; et non multiplier les fantasmes en Occident, avec pour conséquence, de mettre nos pays et leurs dirigeants dans l’incapacité de comprendre la puissance dont ils ont fait une ennemie.

 
       
    
     
   
       
         
       
       
       
        