L’administration Biden accusé de censurer les victimes des vaccins Covid

La New Civil Liberties Alliance (NCLA) a déposé une plainte, contre le gouvernement américain et l’Université de Stanford. Elle les accuse d’avoir collaboré avec des plateformes de médias sociaux afin de surveiller et censurer les discussions relatives aux vaccins Covid-19, notamment les groupes de soutien destinés aux victimes d’effets indésirables de ces injections. Dans leur genèse, les réseaux sociaux étaient perçus comme une plateforme de liberté offrant aux individus un moyen d’expression sans précédent. Cependant avec le Covid, leur évolution soulève des préoccupations quant à leur utilisation en tant qu’outils politiques servant les intérêts dominants du Forum économique mondial (WEF) et de son “Great Reset”.
Une plainte menée par la New Civil Liberties Alliance dénonce une collaboration entre le gouvernement fédéral, l’Université de Stanford et les médias sociaux pour avoir censuré les victimes des effets secondaires des vaccins COVID. Une vidéo publiée par le NCLA détaille les impacts de cette campagne de censure. Elle met en avant les témoignages bouleversants de Brianne Dressen, Nikki Holland et Ernest Ramirez, des victimes dont les droits fondamentaux auraient été bafoués. Selon l’organisation, leurs expériences personnelles partagées sur les réseaux sociaux ont été censurées de manière systématique, restreignant leur liberté d’expression et leur capacité à trouver du soutien.
Une campagne pour faire taire les victimes des vaccins Covid
De nombreuses personnes ont subi les effets secondaires des vaccins à ARNm contre le Covid-19. Selon le NCLA, le gouvernement fédéral et l’université de Stanford collaborent avec les médias sociaux pour empêcher les victimes d’évoquer ou de discuter de leurs cas.
Les détails de cette campagne de censure illégale ont été révélés dans une vidéo. Parmi les plaignants, Brianne Dressen, volontaire pour un essai du vaccin AstraZeneca, a vu sa vie bouleversée par des complications graves. Nikki Holland, kinésithérapeute, a été hospitalisée et placée sous ventilation mécanique après une vaccination, ce qui l’a condamnée à se déplacer en fauteuil roulant suite à de multiples complications. Ernest Ramirez, quant à lui, a perdu son fils de 16 ans, Ernest Jr., cinq jours après que ce dernier a reçu le vaccin Pfizer, victime d’un arrêt cardiaque.
Ces personnes ont cherché à partager leurs expériences et à rejoindre des groupes de soutien en ligne. Toutefois, elles se sont heurtées à des mesures de censure agressives qui les ont forcées à utiliser des mots codés pour éviter que leurs messages ne soient supprimés ou signalés comme « informations fausses ». Selon le NCLA, cette répression orchestrée viole le Premier Amendement, qui garantit la liberté d’expression.
Ils ont essayé de révéler leurs cas sur les médiaux sociaux et de rejoindre les groupes de soutien en ligne. Mais leurs efforts étaient vains. Leurs publications personnelles concernant leurs blessures après la vaccination ont été signalées comme fausses ou supprimées totalement s’ils n’utilisent pas des mots de passe, et ce, même dans les groupes de soutien privés en ligne.
La riposte de la NCLA
Le NCLA soutient que cette censure coordonnée entre des entités gouvernementales et des acteurs privés constitue une attaque directe contre les libertés fondamentales. « Mes droits en tant qu’individu blessé par le vaccin ne sont pas égaux à ceux d’une personne non touchée, notamment mon droit à la liberté d’expression », a déclaré Brianne Dressen dans la vidéo. Le procès Dressen vise à réparer les préjudices subis par les victimes.
Casey Norman, conseillère judiciaire au NCLA, a averti : « Il est beaucoup trop facile d’imaginer que ce type de censure pourrait toucher n’importe lequel d’entre nous. » Le recours judiciaire cherche à rétablir les droits des plaignants tout en envoyant un signal clair contre toute tentative de censure abusive.
Il n’a échappé à personne que durant la crise sanitaire, Big Pharma avait fait pression sur les réseaux sociaux afin de censurer les contenus publiés par les internautes. Nous vous révélions dans nos colonnes que Mark Zuckerberg avait même proposé d’envoyer des « rapports de données » sur les utilisateurs pour « faciliter les décisions » afin d’accélérer l’adhésion aux vaccins. Mark Zuckerberg, s’est excusé dans une lettre adressée au président de la commission judiciaire de la Chambre des représentants, Jim Jordan, le lundi 26 août. Il a avoué que son entreprise avait subi des pressions de la part de l’administration Biden-Harris . Mark Zuckerberg révèle que des responsables du gouvernement américain ont exercé une « pression constante » en 2021 pour faire supprimer certains contenus liés au COVID.
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