La retraite, un caprice de Macron qui va ruiner le pays et ses entrepreneurs

La retraite, un caprice de Macron qui va ruiner le pays et ses entrepreneurs


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L’Histoire se chargera peut-être d’expliquer un jour pourquoi, si ce n’est par un caprice d’enfant pris d’un désir de toute-puissance, Emmanuel Macron a décidé d’imposer sans explication intelligible la réforme des retraites au pire moment de la conjoncture économique, entre montée angoissante de l’inflation, pénuries énergétiques, guerre en Ukraine et autres moments anxiogènes. Toujours est-il que, comme nous le répétons depuis plusieurs années, ce ne sont pas ses moins de 20 millions de voix au second tour qui ont lui donné la légitimité suffisante pour lancer une réforme aussi sensible, surtout avec un tel sens de la provocation permanente (on retiendra sa remarque très récente sur le fait qu’il avait gagné les élections, donc que son programme était approuvé…). Nous l’affirmions hier : le gouvernement devra céder d’importantes contreparties s’il veut survivre à cette épreuve. Et les contreparties sont désormais toutes trouvées : ce seront les entreprises, qui vont devoir payer tous azimuts le prix des erreurs et des caprices macronistes. Une fois de plus, la stratégie patronale de soumission complète à Macron est ici en procès.

Les entrepreneurs vont trinquer pour Macron
L'UE meurt plus vite avec l'Ukraine qu'avec le Frexit, par Thibault de Varenne

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Ce 16 décembre 2025 restera sans doute gravé dans les annales de l'histoire européenne non pas comme le jour où l'Union a sauvé l'Ukraine, mais comme le moment précis où elle a décidé de sacrifier ce qui lui restait de principes fondateurs — la liberté d'expression, la sécurité juridique, et la souveraineté nationale — sur l'autel d'une guerre qu'elle ne peut plus gagner, mais qu'elle s'interdit de perdre. La machine bruxelloise, cette formidable créatrice de normes devenue une machine à broyer


Rédaction

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Bart De Wever, agent de Poutine ou seul adulte dans la pièce? par Veerle Daens

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Le Premier Ministre belge, Bart de Wever, a déclaré lors d'une conférence universitaire, que non seulement la Russie ne perdrait pas la guerre, mais qu'il n'était pas souhaitable qu'elle la perde. Une vraie provocation vis-à-vis de l'OTAN. Sarcasme. Réalité. Et pas un seul kopeck de subvention. Ah, Bruxelles! Ses gaufres, son Manneken Pis, et ses bureaucrates non élus qui jouent au Monopoly avec votre compte en banque. C'est la saison des fêtes, et comme cadeau, la Commission Européenne a déci


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FLORENT MACHABERT

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