Du 30 novembre au 12 décembre dernier s’est tenue la COP 28, à Dubaï, capitale des Emirats arabes unis. Son président était le ministre des technologies et des industries avancées de cette fédération, Ahmed al Jaber – par ailleurs et, serait-on tenté de dire, plus prosaïquement, directeur général de la compagnie pétrolière de son pays, l’Adnoc : un véritable défi, donc, un peu comme si l’on demandait à un charcutier de vendre du poisson. Ainsi, pour la première fois, la conférence a résolu d’exclure définitivement les énergies d’origine fossile, ce qui, on s’en doute, sonne bizarrement dans le golfe Persique.

 
       
    
     
   
       
         
       
       
       
        