Voulez-vous savoir pourquoi la guerre en Ukraine est peu probable, sauf dérapage du "Deep State" qui obligerait la Russie à riposter? L'Etat-major américain est furieux de voir la résistance à la vaccination dans les rangs. Et on aurait commencer à limoger les récalcitrants. Quand bien même il ne s'agirait que de rumeurs,, on imagine l'énergie perdue à tenter mettre en oeuvre les ordres du commandant en chef (le président). Plus l'Etat-major américain s'entêtera, plus elle rendra l'armée inapte à se mobiliser rapidement en cas de conflit. La Russie mais aussi la Chine ont peu de souci à se faire.

Les soldats américains qui refusent de se faire vacciner contre le COVID-19 seront immédiatement renvoyés, a déclaré, selon Reuters, mercredi l’armée américaine, affirmant que cette mesure était essentielle pour maintenir la préparation au combat.
L’ordre de l’armée s’applique aux soldats de l’armée régulière, aux réservistes de l’armée en service actif et aux cadets, à moins qu’ils ne bénéficient d’exemptions approuvées ou en cours, a-t-elle indiqué dans un communiqué.
L’ordre de renvoi est le dernier en date d’une branche de l’armée américaine à renvoyer des membres non vaccinés dans le cadre de la pandémie, après que le Pentagone a rendu le vaccin obligatoire pour tous les membres du service en août 2021.
Poutine et Xi Jinping peuvent dormir tranquilles
Tout ceci se passe dans un contexte international tendu. Il y a non seulement la crise ukrainienne mais les tensions en mer de Chine.
En tout cas, le message envoyé par la Maison Blanche et par l’Etat-Major américain est univoque: une armée divisée devient incapable de faire la guerre. Surtout quand il s’agit d’un conflit entre le commandement et la troupe.
Nous avons fait état dans ces colonnes (1) des résistances d’une partie de la troupe à se faire vacciner mais aussi (2) des dégâts physiques causés par les effets secondaires de la vaccination dans l’armée américaine.
La crise du COVID-19 agit comme un révélateur. Elle nous dit que l’Occident préfère la guerre civile à la défense de sa civilisation vis-à-vis d’éventuels ennemis extérieurs. Elle nous dit aussi que soit les Occidentaux pratiquent le double langage et ne croient pas à une agression russe en Ukraine (ou chinoise sur Taïwan); soit l’idéologie l’emporte sur le réel. Dans tous les cas, on peut imaginer d’une part que la Russie ou la Chine profitent de la faiblesse occidentale; d’autre part nous avons un indice que le « Grand Collapse » n’est pas loin.
 
       
    
     
   
       
         
       
       
       
        