La « santé mentale » des femmes est plus menacée que celle des hommes, s’alarme-t-Elle. Pour des raisons liées – dans un tiers des cas à en croire les déclarations des concernées – à leur travail. Question qu’Elle ne posera pas, et qui devrait d’ailleurs prochainement mener en prison : et si la mauvaise idée, c’était le travail des femmes ?

 
       
    
     
   
       
       
       
         
       
        