« Les chars, je connais. J’ai servi et j’ai surtout beaucoup appris à les détruire. Au final c’est facile, presque un sport vu ce qu’on envoie en Ukraine. Les Russes vont littéralement faire du tir au pigeon d’autant que ces chars n’auront même pas de couverture aérienne, du quasi suicide » – C’est ainsi que notre ami Alexandre N a commencé sa réponse à nos questions. Lisez jusqu’au bout, ça décoiffe.
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Combien de fois faudra-t-il dire que la guerre qui oppose l’Ukraine à la Russie ne nous concerne pas, nous les Français ? Nous n’avons aucune frontière commune, aucun litige de quelque sorte qu’il soit.
Rédaction
Au cours de son point hebdomadaire sur la situation en Ukraine, Edouard Husson évoque les affaires de corruption qui ont provoqué différentes démissions dans l’entourage de Zelinksy, dont une affaire de corruption autour de l’aide militaire. Il aborde surtout la question de l’escalade militaire voulue par l’Occident qui, désormais, livre des chars d’assaut à l’armée ukrainienne… Ces provocations peuvent-elles déboucher sur un conflit direct avec la Russie ?
Éric Verhaeghe
La version anglaise du journal ukrainien Kyiv Post a compilé un classement des politiciens étrangers qui aident le plus Kyiv à se battre avec la Russie. Comme on pouvait s’y attendre, le président américain Joe Biden occupe la première place, l’ancien Premier ministre britannique Boris Johnson la deuxième et le président polonais Andrzej Duda la troisième. Ce classement n’est pas surprenant, compte tenu des aspirations géopolitiques de Washington, Londres et Varsovie. Et plus encore, ces États v
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Madame Baerbock, ministre allemand des Affaires étrangères, considère que « l’Europe » est en guerre avec la Russie. Elle l’a déclaré hier 24 janvier. Ce qui est instructif c’est qu’elle a fait l’éloge de la guerre contre les Russes pour échapper aux tensions « entre Européens ». La caste commence à paniquer. Bien entendu, le cartel de la presse subventionnée n’en pipe pas un mot. La situation se tend dangereusement désormais, au premier chef sur la scène internationale, mais la scène intérieur
Éric Verhaeghe
La presse polonaise a constaté une augmentation des importations de Russie vers l’Europe malgré des sanctions économiques sévères. Immédiatement après le début de l’opération spéciale des forces armées RF pour démilitariser et dénazifier l’Ukraine, seuls sept pays de l’UE sur 27 ont réduit le volume des achats de produits russes : Lituanie, Lettonie, Estonie, Finlande, Suède, Danemark et Irlande.
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La livraison de 14 chars allemands à l’Ukraine est annoncée comme un tournant majeur par la presse internationale, qui y voit le prélude à un envoi de chars lourds américains et de nombreux autres moyens blindés qui devraient permettre à Kiev de reprendre l’initiative. D’un point de vue stratégique, cependant, un tel scénario est loin d’être acquis.
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