L’argent cher devrait durer jusqu’en 2025
Avec le ralentissement de l’inflation qui est marqué aux Etats-Unis et qui se dégage en Europe, beaucoup espèrent que les banques centrales vont opter pour une baisse des taux plus rapide que prévu. D’où un retour des hausses boursières. Mais cette euphorie devrait être transitoire. Si elle montre que les autorités monétaires sont parvenues à éviter le pire cet automne et cet hiver, autant la BCE que la Réserve Fédérale insiste désormais sur la nécessité de maintenir des taux élevés pendant une
Éric Verhaeghe