 
      
  Hydroxychloroquine : l’étrange trahison d’un gouvernement profond sous influence américaine
Pour des raisons qui mettront peut-être beaucoup de temps à être éclaircies, l’hydroxychloroquine a suscité une surréaction de haine, de mépris et de déni dans les élites françaises. Je ne citerai pas ici la liste des commentaires fielleux que j’ai reçus, après un article sur le sujet, de la part d’universitaires incrémentés dans le mandarinat (dont on sait qu’il est fondé sur la flagornerie et le vice bien avant d’être fondé sur la reconnaissance des compétences), de managers à la tête de grand
 
        Éric Verhaeghe
 
       
    
     
       
       
      