 
      
  La "Taxe santé" : l'immoralité de la spoliation indirecte, par Veerle Daens
Le spectacle de l’État français cherchant désespérément à combler les gouffres qu’il a lui-même creusés ne cesse jamais. La dernière invention fiscale en date – une taxe d'un milliard d'euros sur les complémentaires santé pour financer le report de l'âge de la retraite – est un cas d’école de l’immoralité fondamentale de l'interventionnisme étatique. Eric Verhaeghe me pose la question de la morale. Du point de vue libertarien, la réponse est limpide : cette taxe n'est pas seulement économiqueme
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