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CDS
 
      
  En titrant sur « les chiffres alarmants du recrutement des enseignants », Marianne assure à l’usine à gaz de Pap Ndiaye un après-vente qui se veut critique, technique – en tournant méticuleusement autour du pot politique.
CDS
 
      
  Prenant le contrepied de son prédécesseur Jean-Michel Blanquer et du Conseil Constitutionnel, Pap Ndiaye donne satisfaction à 10 élèves bretonnants, qui s’engouffrent dans une brèche ouverte en mars par les Basques, pour rédiger dans leur langue régionale des copies du brevet. Décryptage.
CDS
 
      
  Comme, à l’Education nationale, il ne reste plus grand-chose à saboter, les annonces de Pap Ndiaye sur le « doublement » de « l’enseignement moral et civique » sont bien sûr des gesticulations d’une efficacité toute éolienne. Mais les objectifs de rééducation formulés nous renseignent quand même bien sur les angoisses de la Caste.
CDS
 
      
  A Saint-Jean-de-Luz comme ailleurs, la mort, c’est triste. Surtout donnée intentionnellement. Surtout à une enseignante. Surtout par un lycéen. C’est triste et – je le rappellerai, au risque de passer une fois de plus pour un monstre – ce n’est pas un événement historique.
CDS
 
      
  Alors que la Justice a ouvert une enquête pour assassinat contre une enseignante poignardée par l’un de ses élèves au beau milieu d’une leçon, dans un lycée privé de Saint-Jean-de-Luz, le ministre de l’Education Nationale a exprimé ses condoléances par un Tweet extrêmement maladroit, où il évoque un simple « décès », en gommant totalement la violence de l’acte. Sans préjuger des causes réelles du drame (l’élève qui a poignardé l’enseignante se serait dit « possédé »), l’incapacité du ministre à
 
        Éric Verhaeghe
 
      
  Pap Ndiaye – conformément aux critères probables de son recrutement – a certes renouvelé à la marge, dans l’esprit de la dernière mode woke, le design et la rhétorique de ses fonctions. Par ailleurs, néanmoins, que tous les amateurs d'immobilisme mammouthien se rassurent : s’il faut que tout change, c’est bien sûr pour que tout reste comme avant. Fidèle à la tradition de la quasi-totalité de ses prédécesseurs des dernières décennies, Pap Ndiaye, dans sa tribune publiée ce jeudi par le Monde (et
 
        courrier-strateges