En médaillant plusieurs des organisateurs français de l’arnaque covidiste (Salomon, Fischer…), Macron fait un choix naturellement scélérat – comme tout le reste de son existence –, mais parfaitement logique, partant du principe (que je partage, et même soutiens) qu’il n’y aura jamais de réconciliation entre les empoisonneurs (et leur cheptel de moutons enthousiastes de l’abattoir) et les brebis galeuses qui ont choisi la liberté comme unique garantie de la dignité humaine.
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Dans un entretien au Parisien – destiné à vendre son testament politique –, Mélenchon revient sur ce qu’il est, c’est-à-dire pas grand-chose. Propulsé premier opposant de France par la capitulation en rase campagne de Marine, Mélenchon, censé être contre Macron, est en réalité : tout-contre.
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On était juste partis pour un après-vente routinier de la bonne petite démago quasi-simili-climatosceptique à laquelle Macron, comme il faut faire passer l’austérité, a fini par se résoudre. Et là, c’est le drame : dérapant, le journaliste de 20minutes nous apprend que les Français, non seulement « kiffent leur bagnole » autant que le beauf marié à Brigitte – mais l’apprécient même plus depuis « le Covid » ! Moralité : trop de Great Reset nuit au Great Reset.
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Compilées par le Figaro, les réactions des ténors d’EELV aux conclusions du Conseil de planification écologique, prononcées lundi par Macron, sont, sans surprise, l’expression d’un maximalisme déçu. Mais c’est l’Obersturmführer Jadot qui résume le mieux cette position des miliciens locaux du fascisme vert-brun de Bruxelles : «L’écologie à la française, c’est la France condamnée par l’Europe.»
CDS
Sous l’impulsion du sympathique David van Hemelryck, une campagne favorable à la destitution de Macron bat son plein, sous les radars du cartel des médias subventionnés, mais grâce aux relais d’influence désormais institutionnalisés de la presse dissidente. Arrêté hier par la police, dans Paris, sous les caméras d’une agence de presse dont le siège affiché est à Washington, van Hemelryck avait aujourd’hui les honneurs d’André Bercoff, l’immuable présentateur de Sud Radio, propriété du fondateur
Éric Verhaeghe
Dans cette situation géopolitique bouleversée qui ressemble de plus en plus à un changement « d’ordre mondial », les discours de notre président deviennent difficilement audibles. En 2018, lors de l’assemblée générale de l’ONU, il était partisan d’un monde « globalisé », c’est-à dire « monopolaire » et « multilatéralisé », en gros d’un monde doté d’un gouvernement mondial.
Rédaction
Malgré une semaine avec des événements médiatiques ronflants (venues de Charles III et du Pape), le Président a connu un mauvais dimanche. Devant des Français lassés par sa parole trop fréquente, notamment dans des journaux télévisés complaisants, il a reconnu notre défaite au Niger et son absence d’idées sur le pouvoir d’achat. Surtout, les sénatoriales confirment que, six ans après son accession au pouvoir, la mayonnaise de la Renaissance n’a pas pris dans l’opinion. Disons que, pour le Présid
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