La détection du Covid-19 par le flair canin rivalise-t-elle avec les tests nasopharyngés ? Selon de nouvelles recherches, l’odorat du chien pourrait détecter rapidement une contamination par le virus. Il serait plus efficace que le test PCR.
Lalaina Andriamparany
On se divertit par avance de l’échec inévitable de la réindustrialisation annoncée, promise, voulue par Macron, sans réforme préalable du marché du travail et de la fiscalité des entreprises. Alors qu’officiellement le gouvernement veut promouvoir la « souveraineté » et attirer des entreprises du monde entier (par exemple une bonne usine Tesla qu’Elon Musk ne s’est toujours pas décidé à construire en France, alors que l’Allemagne en compte une à Berlin…), l’annonce quasi-officielle désormais du
Éric Verhaeghe
Selon les médias occidentaux, Pékin entend faire des BRICS un rival géopolitique du G7. L’organisation a déjà dépassé le G7 en termes d’indicateurs économiques, et une vingtaine d’Etats ont déclaré leur souhait d’adhérer à l’association. Mais plusieurs questions se posent. Que reste-t-il à faire aux BRICS sur cette voie, et, surtout, tous les pays participants sont-ils prêts à la confrontation avec Washington ? Enfin, dans quelle mesure cette voie correspond-elle aux intérêts de la Russie ?
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Apparu au début des années 2000, sous l’impulsion de l’économiste britannique Jim O’Neill, pour désigner les marchés émergents, l’acronyme BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) puis BRICS (depuis l’adhésion de l’Afrique du Sud en 2011) n’a cessé d’animer les débats, cet été plus que jamais alors que les cinq puissances tiennent leur sommet du 22 au 24 août à Johannesburg (Afrique du Sud). Cette organisation monte en puissance et regroupe des États qui ont récemment dépassé le G7 en matière de contr
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Cette semaine, Sandton à Johannesburg devient le théâtre d’un événement international qui vise à redéfinir les modèles commerciaux mondiaux, alors que le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud (Brics) se réunissent pour le 15e Sommet des Brics. Le bloc des économies en développement a invité à l’évènement plus de 70 économies à revenu intermédiaire. Leurs dirigeants devraient discuter de l’expansion potentielle de l’adhésion du groupe à d’autres pays. Concernant l’Afrique du Sud
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Si l’attention est mobilisée sur le sommet des BRICS en Afrique du Sud et son élargissement, il ne faut pas oublier que les logiques qui sous-tendent la démarche de l’organisation visent à sortir de nombreux pays – et à leur demande – des contraintes de la « zone d’influence » occidentale, notamment américaine. Par conséquent, certaines initiatives, en Asie centrale – en Ouzbékistan par exemple – ou encore en Amérique du Sud, doivent être prises en considération. Ainsi, dans le cadre de l’initia
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Il règne la ruée vers l’or, surtout parmi les entreprises chargées de « reconstruire » l’Ukraine. L’industrie de l’armement et des technologies, comme le groupe Rheinmetall, en fait partie. La cerise sur le gâteau, ce sont les garanties de la République fédérale pour protéger les investissements directs allemands. Enfin, il ne faut pas laisser la technostructure seule face à tous ces risques ! Les Verts en particulier semblent sensibles au lobbying des multinationales. Avec une audace sans précé
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