Selon un nouveau rapport du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), les Nations Unies lancent une alerte contre l’apparition et la propagation des supebactéries résistantes aux antibiotiques à cause de la crise climatique. Extension du domaine de la pesnée magique.
Lalaina Andriamparany
Incitant pratiquement les participants à frauder les tests Covid et plaçant « le climat » au deuxième rang de ses préoccupations, l’édition 2023 du Forum de Davos est caractérisée par un air plus qu’étonnant d’ancienne normalité.
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Pour rappel : la « gestion du risque » est la pseudo-profession dont sont issus ceux des satrapes de Davos (du WEF de Klaus Schwab) qui jugent bon d’avoir un CV en-dehors de l’hyper-richesse et de la « philanthropie ».
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L’idée d’influencer les phénomènes météo par des moyens technologiques n’est pas neuve. Dans l’Amérique précolombienne, c’est le cycle des saisons qu’on pensait pouvoir « sauver ». Et la technologie était constituée de pyramides aztèques et de poignards permettant d’extraire le cœur des suppliciés. Dans le paradigme actuel, gageons qu’il existerait des études pour démontrer l’efficacité des poignards dans la cardiectomie des suppliciés, et aussi l’efficacité des sacrifices en eux-mêmes, étant do
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Quand des dirigeants, comme Emmanuel Macron et sa clique, engagent un pays tout entier sur la voie d’une mystique révolutionnaire à base millénariste, on leur recommande de disposer, comme les bolcheviques de 1917, d’une Tcheka (futur KGB) susceptible de freiner par moments – par des méthodes souvent peu « Charlie » – les ardeurs de la surenchère religieuse / révolutionnaire.
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Flaubert se moque dans sa correspondance (vers 1853 je crois) des débuts du changement climatique et de l’obsession météo : suite à un orage le préfet intervient (voyez mon texte). Aujourd’hui le couillon éternellement satisfait du corps électoral et téléphage (il ne faut pas le combattre, il faut le fuir, c’est plus courageux) va en avoir pour son argent et pour sa météo comme on sait. 50% de privés de bagnole d’ici quinze ans, et tout le monde est écolo content. L’important c’est de rester eup
Rédaction